Suite au décès de Faouzi Belkahia, c’est Monsieur Moncef Mzabi qui a été élu par ses confrères pour reprendre le relai et siéger à la présidence de l’association d’amitié Tunisie-France. De nationalité tunisienne, mais ayant vécu une partie très importante de sa vie en France, notamment pendant ses études, Moncef Mzabi symbolise parfaitement cette amitié entre les deux pays ainsi que les échanges pouvant exister entre ces deux cultures différentes.

Moncef Mzabi : un homme d’affaires

Moncef Mzabi brille par ses exploits et ne manquera pas de laisser ses traces dans le monde des affaires. Il fait partie de ceux qui jouent dans la cour des grands en ce qui concerne le monde des affaires en Tunisie, mais aussi au niveau international. À ce titre, le groupe Mzabi opère dans de nombreux secteurs d’activités, dont les finances, l’immobilier, le commerce, l’hôtellerie et bien sûr l’industrie. Sa place dans les success-stories tient à sa rigueur qu’il s’impose à lui-même et à son entourage, et ce, sans aucune forme de compromis. Perfectionniste dans tous les sens du terme, il n’a jamais rien laissé au hasard et c’est cette forte personnalité qui est la sienne, qui se traduit par les prouesses dont il continue de faire preuve jusqu’à aujourd’hui.

Moncef Mzabi : un homme de culture

Dans le cadre des activités menées au sein de l’Association d’Amitié Tunisie France et pendant sa première intervention dans le cercle parisien à travers une exposition dont le thème portait sur la découverte de l’autre, Moncef Mzabi a vu dans cet événement une conviction, un engagement et une promesse. Une conviction selon laquelle les domaines de l’art et de la culture sont ceux qui sont les plus favorables pour la découverte de l’autre, pour la mise en valeur de l’art et de l’intelligence ainsi que de l’échange intellectuel. Ensuite, un engagement de toujours creuser dans les cultures et dans l’histoire de la France et de la Tunisie et s’en enrichir afin de pouvoir en construire ensemble un avenir. Une promesse de toujours raviver les liens d’amitié et de coopération entre les deux pays pour un progrès et une entente en toute responsabilité et liberté de deux partenaires qu’il qualifie d’« épris de paix et de développement ».